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Wiktoria Bosc est née en Pologne en 1977. Après avoir fréquenté les beaux-arts de Varsovie, elle s’est formée à la photographie auprès, notamment, de Tomek Sikora. Portraitiste, elle a exposé en Pologne et en Suisse. Elle travaille régulièrement pour le Musée Jenisch (Vevey) et pour la Fondation Jan Michalski (Montricher). Aux éditions Noir sur Blanc, elle a publié La Cuisine polonaise (2011). Après Belle comme vous êtes (galerie Espace Saint-François, 2014), elle poursuit aujourd’hui son cycle sur l’image de la femme aux prises avec le cancer du sein (Corps fragile, octobre 2017).

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L’auteur Généalogiste professionnel spécialisé sur la Pologne, Philippe Christol est l’auteur du guide de généalogie «Rechercher ses ancêtres polonais», ainsi que d’un Dictionnaire des noms de familles polonais. Il anime le site internet www.geneapologne.com ainsi qu’une page Facebook consacrés à la généalogie polonaise. On retrouve aussi ses articles dans la Revue française de généalogie, le blog de Votre Généalogie et diverses revues associatives.

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Après des études de langues, d’archéologie et d’histoire de l’art, Amicie d’Arces devient journaliste et collabore à plusieurs revues sur le patrimoine. Elle est l’auteur de guides thématiques, de livres de recettes et traditions régionales. Elle écrit par ailleurs des nouvelles, publiées dans la presse féminine.

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Native d'Hazebrouck, dans les Flandres françaises, Annie Degroote est auteur mais également comédienne. Dans ses romans, elle s'attache à faire revivre sa région à travers son histoire, ses traditions et ses habitants. Elle a d'ailleurs reçu, pour ses trois premiers ouvrages, le Grand Prix des Lettres de la Société des arts et des lettres de la ville de Lille. Retrouvez l'auteur sur www.anniedegroote.com

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Patrice Dufossé-Rybka est né le 23 octobre 1962 à Douai, parmi une famille de 3 enfants. Il grandit à Lewarde avec ses parents et ses grands-parents maternels d'origine polonaise qui l'accueillent pour soulager les parents, pris par le travail. Son père est agent SNCF, engagé dans la vie associative, élu municipal et syndicaliste. Sa mère est gérante d'une superette coopérative que l'on appelait la C.C.P.M. Ses grands-parents maternels vivent à Delloye, en face du puits de mine de Delloye. Le grand-père est mineur de fond, la grand-mère tient un café en gérance, appelé le Café Chez Jean. En 1970, ses parents déménagent pour venir s'installer tout contre la mine en activité et à une centaine de mètres de ses grands-parents et leur fils. Un an après, Joseph, le fils et oncle qui aura une grande influence sur l'auteur, disparait subitement après un déplacement à l'hôpital, à l'âge de 33 ans. Déjà passionné par l'histoire et les hommes, il arpente, tout petit, la campagne derrière chez lui, à la recherche des traces de l'occupation ancienne : site gallo-romain... La vie autour de la mine l'influence aussi très tôt. La mine ferme ses grilles. L'exploitation charbonnière vit ses derniers instants. Le quartier, les commerces, les gens disparaissent à leurs tours. Le café ferme ses portes. "Un service à part rendu aux mineurs; ils y trouvaient un lieu sécurisé pour y déposer les vélos et les mobylettes, un endroit chaleureux pour se restaurer, se réchauffer et discuter autour des nouvelles", dira le comptable du puits. La mine devient le terrain de jeu de l'auteur, lieu de toutes les aventures réelles et imaginaires. L'Ecole, le collège de Masny parmi des enfants issus d'immigrants polonais... l'amour du sport. Disparitions, au milieu des années 70, des grands-parents maternels et de son grand-père paternel avec lequel il partageait de longs moments. Il était un ancien résistant, mineur de fond, maire du village d''Auberchicourt à la Libération de la guerre 1939-1945, syndicaliste. Pendant ses vacances, il anime et dirige des Centre de Loisirs pour les enfants et les adolescents. Puis avec son argent, il part sillionner la France. Après le baccalauréat, Il se met à travailler dans des centres sociaux. Ensuite, il entreprend des études universitaires dans le domaine de l'action sociale et socio-culturelle (D.U.T obtenu en 1990). Marié en 1991. Salarié durant 15 ans essentiellement à Douai, Lille, Ostricourt : animateur social, directeur d'équipement. Il fait paraître en 1998 : Café de mineurs chez Jean, à compte d'auteur, puis Au Pays minier, les mineurs polonais (1) en 2001, au début à compte d'auteur, puis plusieurs fois réédité par la suite. La petite Emilie vient enfin au monde en 2001. Tout en étant salarié, il poursuit sa passion pour la recherche ethnologique et historique populaire. En avril 2002, il crée la maison d'édition régionale Les Editions Nord Avril, suite aux soubressauts de la vie, mais aussi afin de vivre de sa passion : le livre, la transmission historique, la promotion de chacun et de la région, la défense de quelques causes, la mémoire, l'écriture, les rencontres avec les gens... Il fait paraître quelque-uns de ses textes Les tramways du Nord (2002) et L'Autobus des Gueules noires (2002), puis Au Pays minier, les mineurs polonais (2), Martha, Thérésa et les petites trieuses de 12 ans (2002). En mai 2007, arrivent les petites Estelle et Clara. Ses recherches sont mises dans des cartons car la maison d'édition occupe la plupart de son temps. Elle accompagne ou met en avant des journalistes, des salariés du monde ouvrier, des enseignants (le plupart du temps en histoire ou en géographie), des personnalités régionales... En 2008, celle-ci se développe en Lorraine. Depuis, Patrice Dufossé (Rybka) est un acteur culturel régional de premier plan dans le domaine de l'édition. Attaché à une forme d'indépendance, sa maison d'édition est prolifique, bien que familiale. Elle ne bénéficie d'aucun fond de soutient à ce jour.

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Historien de formation (bac +5), ancien responsable du "Programme de Valorisation du Patrimoine Polonais" à l'association de la Maison de la Polonia la plus importante structure associative franco-polonaise de France, fils et petit-fils de mineurs, je suis l'auteur de 3 ouvrages dédiés à l'histoire de la communauté polonaise du Nord-Pas de Calais et aux causes et aux conséquences de la fermeture des mines.
Cités en référence dans plusieurs revues spécialisées, ils m'ont valu des articles de presse, de nombreuses invitations dans des salons du livre et en séances de dédicaces.
Le 1er volume consacré à "L'Histoire de l'immigration polonaise en Nord-Pas de Calais" (1900-1950) (187 pages) est à 35 euros.
Loin de toute version romancée, ce livre fort poignant est basé sur des recherches menées aux archives départementale et nationale et ne relate donc que des faits avérés.
Il y est question de l’arrivée des tout premiers polonais (comme saisonniers dans les exploitations agricoles puis comme mineurs) à partir des années 1907-1908.
Sont ensuite évoquées leur arrivée massive durant l’entre-deux-guerres (raisons de leur venue, mécanismes du recrutement, installation en France, conditions de vie et de travail). Mon étude fait aussi le bilan de l’intégration de la communauté polonaise à la société française en remettant en cause la « légende rose » de l’histoire de l’immigration polonaise.
Le 2nd tome "Un siècle de présence polonaise en Nord-Pas de Calais" (1950 à nos jours) (90 pages en couleur) est à 25 euros.
Original, puisque rien de comparable n'a été fait auparavant, celui-ci comporte, entre autres, de nombreuses photographies couleur de ce qu'il subsiste aujourd'hui des traces de la communauté polonaise dans notre région tant au niveau du patrimoine bâti (commerces, monuments, églises, chapelles, stèles en hommage aux combattants et résistants polonais...) que du patrimoine non bâti (villes jumelées, personnalités d'origine polonaise, religion, traditions, gastronomie, folklore...).
Le 3ème opus « Entre conversion et reconversion : la fin de l'exploitation charbonnière dans le Nord-Pas-de-Calais » est au prix de 40 euros.
Il évoque les causes et surtout les conséquences (multiples et parfois inimaginables) qu'ont eues et qu'ont encore aujourd'hui la fermetures des mines tant sur le plan démographique, économique, sanitaire et social que psychologique (pour les mineurs et leur famille). Des séquelles toujours visibles aujourd'hui...
Mise à l'honneur par la presse régionale, cette étude extraite de mon mémoire de DEA, travail préparatoire à une Thèse d'Histoire Contemporaine (qui a nécessité trois années de travail et comporte 270 pages : témoignages d'anciens mineurs, cartes, tableaux, graphiques, références des centres d'archives fréquentés et des ouvrages consultés) est un vibrant hommage à la corporation minière/condition ouvrière et un précieux témoignage pour les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de Gueules Noires.
Pour tout renseignement ou toute information complémentaire, n'hésitez-pas à me contacter !
Pour toute commande groupée, les frais de port (12,50E) sont offerts
Willy JENDROWIAK
23 Rue des Galibots
62430 SALLAUMINES
jendrowiak_willy at hotmail.fr

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(Wikipedia)
La Voix du Nord paraît du lundi au dimanche. Dans le Nord-Pas-de-Calais, pour une région comptant plus de quatre millions d'habitants, La Voix du Nord atteint quotidiennement 1 236 000 lecteurs, tandis que Nord Éclair diffuse 31 578 exemplaires.
La Voix du Nord est filiale du groupe belge Rossel, qui possède également Le Soir (Bruxelles).

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Lycée Polonais Cyprian Norwid Villard-de-Lans 1940-1946

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Biographie (Wikipedia)
Professeur émérite des universités, Janine Ponty a soutenu sa thèse de 3e cycle sous la direction de Pierre Labrousse : La France devant l’affaire Dreyfus. Contribution à une étude d’opinion publique, 1898-1899 puis une thèse d’État sous la direction de Jean-Baptiste Duroselle : Polonais méconnus. Histoire des travailleurs immigrés en France dans l’entre-deux-guerres1.
Elle a consacré une part importante de ses recherches à l'immigration polonaise en France. Elle a contribué à l'émergence d'une histoire de l'immigration en France, à travers ses écrits et sa contribution à la naissance de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration à Paris (devenue Musée de l’histoire de l’immigration), dont elle fut membre du conseil d'orientation et commissaire de la première exposition : Polonia, des Polonais en France de 1830 à nos jours2.
Elle fut Maître-assistante à l’Université de Paris 1 puis titulaire d'une chaire d’histoire à l’Université de Franche-Comté, membre du Centre national des universités, membre du Conseil d’orientation de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration (CNHI), membre du Conseil scientifique du Centre historique minier de Lewarde (Hauts-de-France) et du Bureau de la Société française d’études polonaises à Paris3.
Elle a entretenu des relations de travail et d'amitié avec de nombreux polonais, en France et en Pologne, dont Bronisław Geremek, historien, acteur du mouvement Solidarność, ministre des affaires étrangères de Pologne.

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Fils d’ouvrier métallurgiste aux Forges d’Hennebont, Daniel Scourzic entra à l’Ecole Normale de Vannes en 1963. Après l’obtention d’un bac philo, il poursuivit ses études au Centre d’Enseignement Psychotechnique de la faculté de Rennes Villejean avant d’entamer une carrière dans l’enseignement public : d’abord en tant qu’instituteur spécialisé auprès des enfants en grande difficulté d’apprentissage(s) scolaire(s) puis en tant qu’instituteur rural avant de se voir détaché auprès de l’Inspection Académique pour assurer la coordination et l’animation de la Zone d’Éducation Prioritaire du monde rural de l’est du département du Morbihan. Il a pris sa retraite en 2003. Aujourd’hui, il partage sa vie entre sa Bretagne natale et sa Pologne d’adoption. La grande région de Poméranie Occidentale (Zachodniopomorskie) n’a plus de secrets pour lui. Cette Voïvodie est le lieu de « tournage » de son dernier roman : « Les matriochkas ». Polar ou roman de terroir à la polonaise, thriller ou roman d’amour de la Pologne. Les lecteurs pourront se prononcer à leur guise. Bibliographie : Les enfants de la haine (2004) Le crucifix de Marek (2006) Les trois voyages (2007) En collaboration avec Henri Lavialle : Témoignage, Henri, travailleur forcé (2009) Les matriochkas (2013) Contact : daniel.scourzic@gmail.com

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